Club de la presse et de la communication : sous le signe du professionnalisme et de la solidarité #aOuaga

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Club de la presse et de la communication : sous le signe du professionnalisme et de la solidarité

Publié le lundi 20 janvier 2014 | L’Express du Faso

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Club de la presse et de la communication : sous le signe du professionnalisme et de la solidarité

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Les membres du Club de la presse et de la communication du Burkina (CPC / B) ont procédé le samedi 18 janvier 2014, au lancement officiel de leurs activités. C’était au Centre Muraz de Bobo-Dioulasso. Bakary Alexandre Sanou, coordonnateur régional du Club de la presse et de la communication (CPC), section des Hauts-Bassins, s’est dit heureux, non seulement d’accueillir l’événement, mais aussi de voir naître ce cadre de formation et de communication de la presse. A noter que le CPC a vu le jour en novembre 2013. Il s’inscrit dans la dynamique de participer au rayonnement de la presse au Burkina en cultivant le professionnalisme et la solidarité entre journalistes et communicateurs. Ainsi, dira son président Issaka Lingani, le CPC reste un centre de dialogue et de formation continue pour ses membres. A ce cérémonial de Bobo-Dioulasso, le CPC a eu le soutien indéfectible de Béatrice Damiba, présidente du Conseil supérieur de la communication (CSC) et du président de l’Assemblée nationale, Soungalao Apollinaire Ouattara. Celui-ci, alors parrain du jour, a encouragé ces hommes et femmes de la presse et de la communication à persévérer dans leurs tâches quotidiennes. Soungalao Ouattara reconnaît que malgré les moyens aléatoires, la presse Burkinabè est citée parmi les meilleures de la sous-région. A l’issue du lancement, les membres du CPC ont bénéficié d’une conférence du CSC sous le thème « Appel à la modération dans le traitement de l’information ». Elle a été animée par Modeste Ouédraogo et avait pour modérateur Victor Sanou. A cet effet, le monde de la presse et de la communication présent, a pu alors échanger sur le contexte qui a prévalu à cet appel du CSC en date du 2 octobre 2013 à la modération dans le traitement de l’actualité nationale tant par les médias publics que par les média privés. La mission de l’institution étant le respect des dispositions légales et réglementaires, ainsi que des règles de l’éthique et de la déontologie qui doivent demeurer un impératif constant.

Kofila TRAORE

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