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Le Burkina Nouveau : un semeur de paix nommé «Yak»
Publié le samedi 7 decembre 2013   |  FasoZine


le
© Autre presse
le colonel Yacouba Ouédraogo
Ministre des Sports et des loisirs.


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Le Burkina Nouveau est une réalité en Côte d’Ivoire, depuis le samedi 30 novembre 2013.L’événement s’est déroulé dans une liesse populaire, sur la célèbre place Inch Allah du quartier Koumassi d’Abidjan, avec pour témoin oculaire, une immense foule au sein de laquelle figuraient en bonne place des chefs religieux et coutumiers, des autorités politiques, des femmes et hommes de toutes les générations. Preuve que le tocsin sonné par Yacouba Ouédraogo, président national de l’association qui essaime la paix et la solidarité, a été entendu dans tous les coins où vivent des Burkinabè, car ils sont venus de partout pour célébrer la fraternité.Autour du président André Nahikiga «Nazemsé», les membres de la section Côte d’Ivoire de l’association Le Burkina Nouveau ont affirmé leur engagement d’entretenir la flamme de la paix et de la solidarité allumée par le colonel Yacouba Ouédraogo, le ministre burkinabè des Sports et des loisirs. Si ce dernier, convaincu, comme il le répète à souhait que «le Burkina Faso est une terre de paix et de tolérance», leur communique l’optimisme et la foi qui lui servent d’étoile polaire, sans doute que ces nouveaux soldats armés de colombes et de roses, devraient réussir leur mission.

Du reste, le soutien sans faille que leur ont apporté leurs nombreux frères ivoiriens, le jour de leur installation, est la preuve que le combat pour la paix est noble mais doit surtout se mener à travers le comportement et la conviction de tout un chacun, sans distinction de nationalité. Raison pour laquelle la séance de libation, les prières, le lancer de pigeon, l’animation musicale, et les discours qui ont meublé cette fête pour la paix.

C’est dans la même logique que, le président du Faso, Blaise Compaoré et Alassane Ouattara, son homologue ivoirien qui ont été fortement applaudis au cours de cette cérémonie, ont été appelés à œuvrer inlassablement pour la paix et la concorde nationale dans et entre les deux pays. Philippe Legré, le parrain de la cérémonie, Raymond Ndohi Yapi, le maire de Koumassi, les Burkinabè de Côte d’Ivoire et bien d’autres notabilités, soucieux de l’importance de cette crémoni qui a porté Le Burkina Nouveau, section Côte d’Ivoire, sur les fonts baptismaux, ont saisi cette opportunité pour apporter leur caution à Yacouba Ouédraogo dans sa quête de la paix.

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