Accueil    Shopping    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Burkina Faso    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Art et Culture
Article




  Sondage



 Autres articles


Comment

Art et Culture

« Les APE et les enseignants » comme « les dents et la langue » !
Publié le samedi 28 septembre 2013   |  Autre presse




 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

A l’orée de la rentrée pédagogique et comme il est de coutume ces dernières années dans le monde éducatif, l’actualité semble être encore dominée cette année par les malentendus dans certaines écoles du primaire tout comme dans les lycées au secondaire. En effet, certains partenaires de l’éducation que sont les Associations des parents d’élèves (APE), dont la mission essentielle est d’accompagner la politique éducative de l’Etat, ne parleraient pas le même langage avec certains acteurs du terrain. C’est ainsi que dans certaines écoles, on assiste déjà à des scènes qui n’honorent nullement les responsables des deux camps. Et pour cause ! Tout se reposerait sur la gestion des cotisations APE : des directeurs d’écoles, de par leurs expériences disent-ils, voudraient bien prendre des dispositions pour boucler les dépenses au terme de l’année ; de l’autre, les APE veulent bien en savoir davantage. Ce qui est bien normal quand on sait que ces structures officiellement reconnues ont obligation de rendre compte à leurs bases en assemblée générale. Sans entrer dans une polémique, il y a bien lieu que si cela arrivait dans une école, que les deux parties s’asseyent et discutent car, quoi qu’on dise, c’est comme les dents et la langue qui souvent se « heurtent », mais sont « condamnées » à vivre ensemble. Les résultats scolaires de fin d’année dépendent en grande partie du climat qui a prévalu entre l’APE, les enseignants en général et le directeur en particulier. Priorisons donc l’intérêt général des enfants pour que rayonne encore l’école burkinabè.

DPENA / Houet : Le nombre de CEB passe de 18 à 20

Le nombre de Circonscriptions d’éducation de base (CEB) qui était de dix-huit dans la province du Houet, passe désormais à vingt à compter de cette rentrée scolaire 2013-2104. Et c’est la commune de Bobo-Dioulasso qui s’est vue agrandir ou reconstituer, passant de 8 à 10 CEB. Cela, dans le souci de rapprocher les responsables des acteurs ou de décongestionner le nombre d’écoles par CEB pour des résultats encore plus efficients. En tout cas, les passations de service sont programmées. C’est ainsi que Lamissa Traoré, directeur provincial de l’Education nationale et de l’Alphabétisation (DPENA) du Houet avec le soutien indéfectible de l’autorité régionale en charge de l’éducation dans les Hauts-Bassins, Salimata Konaté / Ouattara, entreprend une série de passations et d’installations de ses collègues dans certaines CEB de son ressort territorial. Elle sera en principe ce matin même à Satiri où Anatole K. Sora pendra la destinée de cette CEB. Le lundi prochain, ce sera le tour de Gnowile Kambou de prendre ses nouvelles fonctions à Karangasso Vigué en remplacement de Boukary Dianda qui vient à Bobo pour l’ouverture de la CEB Bobo 9.

Conférence annuelle des IP : tout s’est bien terminé dans les Hauts-Bassins

La conférence pédagogique des Instituteurs principaux (IP) a ouvert ses travaux le lundi 23 septembre dernier à l’ENEP de Bobo-Dioulasso. Durant quatre jours, ces encadreurs pédagogiques de proximité ou directeurs d’écoles, ont orienté leur réflexion sur le thème : « Le projet d’Ecole, un outil de renforcement du mangement des écoles pour une éducation de qualité au Burkina Faso ». C’est dans un climat de satisfecit général que les portes de cette rencontre annuelle se sont refermées hier 26 septembre 2013. Les participants se sont donc dits satisfaits de ces cadres d’échanges d’expériences qui, à n’en point douter contribuent à améliorer la qualité de notre système éducatif.

Les Burkinabè de New York recommandent la création d’une bibliothèque présidentielle

Les Burkinabè de New York n’ont pas hésité à crier haut et fort devant le Président du Faso leur fierté de constater que le Burkina avance et se fait respecter, le 24 septembre 2013, lors d’un entretien à New York.

L’Association des Burkinabè de New York (ABNY) et le Conseil des sages ont assuré qu’ils sont solidaires de la construction d’un Burkina émergent, parce que, selon les termes de Youssouf Ouédraogo, président de l’Association, «la croissance à deux chiffres n’est pas loin».

Elle a demandé à Blaise Compaoré de créer une Bibliothèque présidentielle pour pérenniser ses nombreuses actions couronnées de succès.

Durant cet échange direct avec le chef de l’Etat, la diaspora a souhaité être soutenue avec la création d’un consulat et d’une Maison du Burkina.

Le Président du Faso a salué l’unité et la solidarité de ses compatriotes de New York, avant de donner des éclaircissements sur la mise en œuvre du sénat, la création d’une caisse de dépôt et de consignation, en promettant que les sollicitations seront étudiées.



Les relations entre le Qatar et le Burkina Faso se consolident à New York

En marge de la 68è session ordinaire de l’assemblée générale de l’ONU, le Président du Faso a eu un entretien avec l’Emir du Qatar, Son Altesse Sheikh Tamim Bin Hamad Al Thani, le 24 septembre 2013 à New York.

La rencontre a permis et donné l’opportunité aux deux hautes personnalités de consolider la coopération entre Doha et Ouagadougou, de passer en revue les questions d’actualités : la paix au Sahel, au Proche-Orient, etc.

Des malfrats dans les filets de la gendarmerie de Bobo

La brigade de recherche de la gendarmerie de Bobo à travers un point de presse a présenté un groupe de 5 malfaiteurs ce jeudi 26 septembre 2013. Les présumés coupables cambriolaient de nuit comme de jour dans les domiciles et lieux publics, les honnêtes citoyens de la ville de Sya. En outre, elle a présenté un usurpateur de titre avec tentative de viol, acte de violence et vol d’effets militaires. Ce dernier se faisait passer pour un sergent de l’Armée burkinabè. Nous y reviendrons plus en détails dans nos prochaines éditions.

Assemblée nationale : ça commence bien

Après l’ouverture de leur session parlementaire qui va durer 90 jours, les députés débutent ce soir-même les séances plénières. Avec comme premier « invité », le Premier ministre lui-même. Luc Adolphe Tiao répondra à une question d’actualité du député Jean Bassono. Ce sera à partir de 16 heures à l’Assemblée nationale. Ça commence bien.

Mais, comme l’exige le règlement, Luc Adolphe Tiao ne saura la question qui lui sera posée qu’une fois devant les députés. Question pour les honorables de savoir s’il maîtrise ou non ses dossiers. Les autres députés ne savent pas non plus de quelle question il s’agira. Si bien que tout le monde sera surpris demain à l’Assemblée. Ce sera l’une des rares fois que les députés questionnent le Premier ministre en direct.

 Commentaires