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Sidwaya N° 7273 du 11/10/2012

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Commune de Ouagadougou : Feu Badembié Pierre Claver Nézien immortalisé à travers une rue
Publié le vendredi 12 octobre 2012   |  Sidwaya


Luc
© Autre presse
Luc Adolphe Tiao
Premier ministre Burkinabè.


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Le conseil municipal de Ouagadougou a honoré, le jeudi 11 octobre 2012, feu le lieutenant-colonel de gendarmerie, Badembié Pierre Claver Nézien, en donnant son nom à une artère de la ville, notamment la rue 17. 967. La cérémonie de baptême s’est déroulée en présence du Premier, Luc Adolphe Tiao.

La voirie urbaine, précédemment identifiée sous le numéro 17. 967, sis au secteur n°28, dans le 6è arrondissement du nouveau découpage, débutant au Nord-Est par l’Avenue de la dignité et finissant au Sud-Ouest par la ceinture verte, porte désormais le nom : « Avenue Pierre Claver Badembié Nézien ». La cérémonie de baptême déroulée le jeudi 11 octobre 2012, a connu la présence des présidents d’institutions, des autorités politiques, militaires, coutumières et des populations de l’arrondissement de Boulmiougou. Après avoir retracé le parcours de l’illustre disparu, le président du conseil municipal de la ville de Ouagadougou, Simon Compaoré, a déclaré : « c’est au regard des multiples valeurs qu’il incarnait et des actes méritoires qu’il a posés de son vivant que le conseil municipal a jugé nécessaire d’honorer sa mémoire, en immortalisant son nom sur une des artères de la commune de Ouagadougou ». Témoins de cette cérémonie, parents et amis ont traduit leur gratitude aux autorités municipales pour l’honneur qui a été fait au lieutenant-colonel Badembié Pierre Claver Nézien. Le représentant de la famille, Ambroise Boubié Néya a, de ce fait, remercié le conseil communal de Ouagadougou pour l’honneur qui leur a été fait. Pour lui, cet acte sonne comme une reconnaissance des sacrifices consentis par ce « grand homme », pour la nation burkinabè : « Trente ans après son décès, nous sommes heureux que les autorités burkinabè aient pensé à notre frère. C’est le signe que notre frère a eu des mérites sur cette terre. Si le pays reconnaît cela, nous les membres de sa famille, nous ne pouvons que nous en réjouir », a-t-il confié.


Abdel Aziz NABALOUM
mirathe@yahoo.fr

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