Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article
Politique

Burkina Faso: Le CDP plaide pour le retour de Blaise Compaoré au pays

Publié le lundi 19 novembre 2018  |  RFI
Entrée
© aOuaga.com par A.O
Entrée politique du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP)
Ouagadougou, Dimanche 18 novembre 2018. L’ex-parti au pouvoir, le Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) a effectué sa rentrée politique 2018-2019 autour du thème : " Face aux défis actuels et futurs, bâtissons un CDP uni, solidaire et conquérant ".
Comment


Au Burkina Faso, le Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP), l’ex-parti au pouvoir, a effectué sa rentrée politique ce dimanche à Ouagadougou par un grand rassemblement à la maison du peuple. L’occasion pour les militants de réclamer le retour du fondateur du parti, l’ex-président Blaise Compaoré, en exil en Côte d’Ivoire. Le parti et ses alliés entendent mener le combat pour une véritable réconciliation nationale en vue de favoriser le retour des exilés politiques.
« Le CDP réclame le retour de Blaise Compaoré », c’est l’inscription qu’on pouvait lire sur la majorité des banderoles imprimées à l’occasion de cette rentrée politique de l’ex-parti au pouvoir. Dès l’entame de son discours, Eddie Komboïgo, l’actuel président du parti, a demandé aux militants « de vous lever tous pour que nous fassions un standing ovation au créateur de notre parti. J’ai nommé le président Blaise Compaoré ».

Réconciliation nationale

Pour lui, il faut une réconciliation nationale afin que l’ex-président et tous les exilés politiques reviennent au Burkina Faso : « Le retour du président Compaoré tant souhaité par le CDP, c’est une œuvre de tous les partis, toutes les associations qui souhaitent lier une réconciliation sérieuse. Et le CDP est certainement ouvert à toutes les propositions de compromis sans compromission ».

En vue des élections de 2020, le Congrès pour la démocratie et le progrès et d’autres partis de l’opposition entend s’accorder sur une plateforme politique consensuelle. « Nous continuerons de nous battre pour que la loi discriminatoire sur le vote des Burkinabè à l’étranger soit revue et corrigée ».
... suite de l'article sur RFI

Commentaires