Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article
Politique

Révocation de Gardes pénitentiaires et lutte contre le terrorisme à la une des quotidiens burkinabè

Publié le jeudi 15 novembre 2018  |  Agence de Presse Africaine
Presse,
© Autre presse par DR
Presse, terrorisme et politique au menu des journaux burkinabè
Comment


Les quotidiens burkinabè font cas, ce jeudi, de l’arrestation d’un présumé recruteur de terroristes à l’Est du pays, sans oublier la révocation de dix Gardes de sécurité pénitentiaire (GSP), décidée, la veille, en conseil des ministres.

«Ministère de la Justice : 10 GSP révoqués», barre à sa Une L’Observateur Paalga qui publie la liste des dix agents révoqués.

Selon le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, «ces derniers ont été boutés hors de la fonction publique pour faute d’extrême gravité, notamment, en faisant irruption au domicile du ministre de la Justice et en y désarmant sa sécurité».

Pour sa part, Sidwaya, le quotidien à capitaux publics, publie l’intégralité du compte rendu du Conseil des ministres d’hier mercredi, contenant, à la fin, la liste de ces «personnes révoquées des effectifs de la fonction publique».

De son côté, Aujourd’hui au Faso informe qu’en plus des dix agents révoqués, le bureau du Syndicat national des agents GSP (SYNAGSP) est interdit.

Dans sa rubrique ‘’Les news du jour’’, le même journal privé titre : «Région de l’Est : un présumé recruteur de combattants arrêté dans la Komondjari», soulignant que l’information est du média en ligne Lefaso.net.

Le Pays, citant l’Agence d’information du Burkina (AIB), précise que le présumé recruteur aux arrêts serait un conseiller municipal du nom de Barry Mahama, du village de Bin Touga, dans la commune de Bartiébougou qui chercherait à constituer un groupe terroriste.

«Selon des sources bien introduites, ce groupe armé cherchait à avoir une base solide dans la zone (Komondjari) depuis l’offensive lancée par l’armée du Niger, pays frontalier avec le Burkina Faso», rapporte Aujourd’hui au Faso.

Le journal fait observer qu’en plus du conseiller municipal mis aux arrêts, un engin artisanal explosif a été mis hors d’état de nuire par les Forces de défense et de sécurité (FDS), le mercredi 13 novembre 2018, sur l’axe Gayéri-Bartiébougou.


ALK/cat/APA
Commentaires

Dans le dossier

Presse et médias
Sondage
Nous suivre
Nos réseaux sociaux

Comment