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Burkina Faso: qui sont les présumés jihadistes abattus par les forces spéciales?

Publié le jeudi 24 mai 2018  |  RFI
Fausses
© aOuaga.com par A.O
Fausses cartes d`électeur : l`affaire classée sans suite
Jeudi 29 octobre 2015. Ouagadougou. Palais de justice. Le procureur du Faso près le tribunal de grande instance de Ouagadougou, Maïza Sérémé, a animé une conférence de presse le 29 octobre 2015 pour annoncer le classement sans suite de l`affaire des 5 000 fausses cartes d`électeur
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Au Burkina Faso, après le démantèlement d’un groupe présumé terroriste dans un quartier à Ouagadougou, on en sait plus ce mercredi 23 mai sur ces jihadistes qui projetaient des attaques contre d’importantes cibles dans la capitale, selon le procureur. Les membres du commando sont tous liés à Al-Mourabitoune et ils avaient participé à la préparation des attaques de l’état-major général des armées et de l’ambassade de France le 2 mars dernier. Les trois terroristes abattus sont de nationalité burkinabè et malienne. Quant au survivant, un Malien, il venait de rejoindre le groupe.

Les premiers éléments de l’enquête révèlent, selon la procureure Maïza Sérémé, que les quatre terroristes appartiennent au groupe Al-Mourabitoune. Le cerveau présumé du groupe a pour nom Abdoulaye Sawadogo, alias Abdallah. Il est de nationalité burkinabè et serait impliqué dans plusieurs attaques au Burkina Faso.

« C’est quelqu’un qui jouait au recruteur et ensuite il formait les gens au Mali. Donc c’est quelqu’un qui est vraiment très impliqué dans le terrorisme. Il voulait installer le jihad au Burkina », explique la procureure.

Les objets retrouvés dans la maison occupée par les terroristes présumés sont en lien avec la double attaque du 2 mars dernier, selon Maïza Sérémé. Plusieurs plaques d’immatriculation, de vélomoteurs et de voitures, une motocyclette et une voiture du même modèle que celle utilisée dans l’attaque de l’état-major général des armées ont été découverts sur place.
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