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Centre pour la gouvernance démocratique: Une veille citoyenne pour la sauvegarde des acquis de l’insurrection
Publié le lundi 18 decembre 2017  |  Sidwaya
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© aOuaga.com par A.O
An 1 de l`investiture de Roch Kaboré : le CGD organise un débat démocratique
Jeudi 29 décembre 2016. Ouagadougou. Salle de conférences du CBC. Le Centre pour la gouvernance démocratique (CGD) a organisé un débat démocratique sur le premier anniversaire de l`investiture de Roch Kaboré comme président du Faso




Le Centre pour la gouvernance démocratique (CGD), en collaboration avec la Coalition Ditanyè a organisé, le vendredi 8 décembre 2017 à Ouagadougou, un colloque national sur le thème : « Peuple burkinabè face aux défis postinsurrectionnels ».

Le Centre pour la gouvernance démocratique (CGD) et la Coalition Ditanyè ont organisé, le vendredi 8 décembre 2017 à Ouagadougou, deux jours de réflexion avec des experts nationaux sur les défis post-insurrectionnels. L’objectif était de contribuer sainement à l’animation de la vie publique par une veille citoyenne proactive en vue de maintenir l’élan démocratique suscité par l’insurrection populaire des 30 et 31 octobre 2014 et de la résistance au push manqué du 15 septembre 2015. Plusieurs thèmes ont été développés. Il s’est agi, entre autres, de la justice face aux aspirations du peuple, les défis sécuritaires, socioéconomiques et du renouvellement positif et qualitatif de la classe politique, l’héritage institutionnel de la Transition politique… Pour le président du CGD, Thomas Ouédraogo, il était surtout question de sensibiliser l’opinion publique burkinabè aux défis postinsurrectionnels pour une gouvernance centrée sur les opinions du peuple. Il a fait savoir qu’on ne s’insurge pas pour rien mais pour gagner. A l’entendre, le défi est de pouvoir toucher la jeunesse là où elle se trouve, pouvoir discuter avec elle afin de la faire vivre les espoirs de l’insurrection. Selon Me Guy Hervé Kam, lorsque les 30 et 31 octobre 2014, le peuple burkinabè disait que rien ne sera plus comme avant, cela veut dire qu’il voulait un changement concret. «Les 30 et 31 octobre 2014 ont été pour le peuple burkinabè un espoir de changement concret dans tout ce qui touche à la vie de la population et c’est notre mission de faire en sorte que ces changements ne tombent pas dans les oubliettes », a-t-il dit. Si le changement ne se sent pas de façon concrète, a-t-il indiqué, c’est parce qu’ils n’y pas d’actions fortes. Mais, il a rassuré que la population continuera à jouer son rôle de veille «et forcément les choses vont changer ».


Elélé KANTORO
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Sidwaya N° 7229 du 8/8/2012

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