L ’ Etat principal bailleur de l’abattoir frigorifique de Ouagadougou doté d’un budget de 188 millions FCFA #aOuaga

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L ’ Etat principal bailleur de l’abattoir frigorifique de Ouagadougou doté d’un budget de 188 millions FCFA

Publié le mercredi 24 juillet 2013 | Agence de Presse Africaine

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L ` Etat principal bailleur de l`abattoir frigorifique de Ouagadougou doté d`un budget de 188 millions FCFA

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L’Etat burkinabè, avec 34,34% de part, est actuellement, le principal financier de l’abattoir frigorifique de Ouagadougou (AFO) dont la gestion est confiée la Société de gestion pour la reprise des activités d’exploitation de l’abattoir (OGEAO) et qui est dotée d’un capital de 187, 950 000 millions de F CFA, a-t-on appris de source proche de la structure.

Le capital de la SOGEAO, selon la même source, est réparti entre l'Etat burkinabè (34,34%), la Chambre de commerce et d'industrie (20,48%, la Société TAN Aliz (13,30%), la Commune de Ouagadougou (11,97%), les transformateurs (10,64%), les bouchers et éleveurs (09,27%).

La SOGEAO a pour mission, entre autres, l'abattage et la préparation pour la consommation humaine d'animaux de boucherie et charcuterie, le conditionnement, la transformation et la commercialisation de viande et la commercialisation en cas de besoin de bétail sur pied au Burkina ou à l'étranger.

Face à une difficile situation financière de la société et qui risque de s'aggraver, le gouvernement burkinabé a élaboré un nouveau plan de relance visant à relever le niveau de production de l'AFO de 35% à 80%.

De même, il a été envisagé de faire de la SOGEAO, ‘'une société économiquement rentable et contribuant pleinement à l'exportation de la viande et à son industrialisation au niveau national et régional''.

L'abattoir frigorifique de Ouagadougou rencontre, depuis quelques années, des difficultés ayant entrainé le désir de rétrocéder la gestion de l'établissement à un privé.

A cet effet, une mission conduite par le secrétaire général du ministère en charge du Commerce, accompagné des premiers responsables de l'AFO, s'est rendue la semaine dernière à Paris, en France.

ALK/cat/APA

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