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Terrorisme et justice se partagent la Une des quotidiens burkinabè
Publié le mercredi 8 novembre 2017  |  Agence de Presse Africaine
La
© Autre presse par DR
La presse nationale dans les kiosques à journaux




Les quotidiens burkinabè, dans leurs publications de ce mercredi abordent essentiellement des sujets liés à la justice, ainsi qu’au terrorisme, avec l’attaque d’une gendarmerie au Centre-Nord du pays.

«Bourzanga : la brigade de gendarmerie attaquée par des individus armés», arbore en manchette, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso.

Selon le journal, les faits se sont déroulés dans la nuit du lundi à mardi, lorsqu’un groupe d’individus armés a attaqué la brigade de gendarmerie de Bourzanga, localité située dans la province du Bam (Centre-nord), frontalière du Soum, région du Sahel.

Et L’Observateur de relater qu’il n’y a pas eu de perte en vie humaine ni d’aucun blessé, mais que le bilan provisoire fait état «d’importants dégâts matériels enregistrés dans l’enceinte de la brigade après le passage des assaillants, venus sur les lieux à moto».

Evoquant cette attaque terroriste, le journal Le Quotidien se veut davantage précis lorsqu’il affiche à sa Une : «Attaque de la brigade territoriale de gendarmerie de Bourzanga par 8 hommes armés: 2 motos emportées, des documents incendiés».

Pour sa part, Aujourd’hui au Faso, un autre quotidien privé évoque le sujet dans sa rubrique ‘’News du jour’’, informant que «selon une source sécuritaire de cette localité, les assaillants ont pris la fuite face à la riposte des gendarmes qui étaient préparés à toute éventualité».

Le même journal consacre sa manchette à la justice, notamment à l’audience de confirmation de charges qui se déroule actuellement au Tribunal militaire de Ouagadougou, relatif au dossier du putsch manqué de septembre 2015.

Aujourd’hui au Faso affiche que «le ballet des inculpés se poursuit devant la chambre de contrôle», avant de faire remarquer que l’audience de confirmation des charges a débuté le 25 octobre dernier.

«Après le passage du général Gilbert Diendéré, patron du Conseil national pour la démocratie, qui avait demandé l’inculpation d’une dizaine de chefs militaires, plusieurs autres personnes ont été convoquées devant les juges», écrit le journal.

A ce propos, Le Pays met en exergue: «Affaire du putsch manqué de 2015 : Bras de fer procédural entre le procureur militaire et l’avocat de Léonce Koné».

Le journal croit savoir que «lors de l’audience de confirmation des charges concernant Léonce Koné, président de la commission ad’ hoc du CDP (Congrès pour la démocratie et le progrès, Ndlr), ex-parti au pouvoir, le lundi 6 novembre dernier dans l’affaire du coup d’Etat manqué, un véritable bras de fer procédural a opposé Me Yérim Thiam, le conseil de Léonce Koné au procureur militaire, près le Tribunal militaire de Ouagadougou, Alioune Zanré».

Et Le Pays de renchérir que M. Zanré est revenu sur sa décision de ne pas faire appel de l’ordonnance de règlement définitif du juge d’instruction qui n’avait retenu que l’unique chef d’accusation +complicité d’attentat à la sûreté de l’Etat+, contre Léonce Koné».

ALK/of/APA
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