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Situation nationale : le Parlement panafricain solidaire du peuple burkinabè
Publié le jeudi 7 septembre 2017  |  AIB
Roger
© Autre presse par DR
Roger Nkodo Dang ,président du Parlement panafricain et Roch Marc Christian Kaboré ,président du Faso.




Ouagadougou - le président du Parlement panafricain, Roger Nkogo Dang a présenté jeudi, ses condoléances au président du Faso Roch Marc Christian Kaboré dont le pays a été « durement éprouvé », par le décès du Dr Salifou Diallo, président de l’Assemblée nationale et par des attaques terroristes.

«Je suis venu présenter mes condoléances suite au décès de Salifou Diallo mais également suite aux évènements malheureux qui ont endeuillé le pays», a indiqué M.Dang à sa sortie d’audience.

Pour lui, Salifou Diallo était «un apôtre de la paix, un panafricain» avec qui, il dit avoir entretenu de bons rapports.

A l’en croire, sa disparition «affecte sa famille mais aussi sa grande famille politique, sa grande famille internationale où il avait des amis partout».

Salifou Diallo est décédé le 19 août 2017 à Paris à l’âge de 60 ans. Son inhumation à lieu le 25 août 2017 dans sa ville natale de Ouahigouya.

On rappelle que des terroristes ont tué 19 personnes dans un café restau turc le 13 août dernier au cœur de Ouagadougou. Trois soldats burkinabè ont été tués le 16 août, lorsque leur véhicule a sauté sur une mine à Djibo dans le nord du pays.

«Je me devais en ma qualité de président du Parlement panafricain mais également en tant que Burkinabè, venir présenter les condoléances au chef de l’Etat, au gouvernement, au Parlement et à l’ensemble des citoyens», a souligné Roger Nkogo Dang.

S’agissant des attaques terroristes, M.Dang a exhorté les Etats africains à mutualiser leurs forces pour combattre ce phénomène, car dit-il, «aucun pays n’est à l’abri de ce phénomène».

Condamnant «ces actes de violences», il a réaffirmé que son institution œuvre pour que l’Afrique soit pacifiée de tout ce qui lui arrive aujourd’hui.

«Le Burkina est lancé dans la voie du développent et ce serait très dommageable qu’à ces moments précis, nos pays soient tout le temps attaqués», a-t-il déploré.

«S’il n’y a pas la paix et la sécurité, le développement n’est pas possible», a-t-il conclu.

Agence d’Information du Burkina

als/ata
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