Cadre sectoriel de dialogue culture, sports, loisirs : le bilan à mi-parcours

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Publié le mercredi 23 aout 2017 | Sidwaya

© aOuaga.com par Séni Dabo
FESPACO 2017 : ouverture du colloque sur le thème
Mardi 28 février 2017. Ouagadougou. Salle des fêtes de Ouaga 2000. Le colloque sur le thème de la 25e édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO) à savoir "formation et métiers du cinéma et de l`audiovisuel" a ouvert ses portes pour deux jours de travaux. Photo : Tahirou Barry, ministre de la Culture, des Arts et du Tourisme

Les membres du Cadre sectoriel de dialogue (CSD) culture, sports, loisirs ont tenu la revue à mi-parcours des activités, le mardi 22 août 2017, à Ouagadougou. Il s’est agi d’apprécier l’état d’exécution du programme pour la période du 1er semestre 2017.

Les membres du Cadre sectoriel de dialogue(CSD) culture, sports, loisirs ont évalué, à mi-parcours, le programme des activités dudit secteur. C’était le mardi 22 août 2017, à Ouagadougou. Le ministre de la Culture, des Arts et du Tourisme, Tahirou Barry a indiqué que cette tribune de concertation entre les acteurs impliqués vise à faire l’état des lieux des perspectives de la période allant du 1er janvier au 30 juin 2017. C’est aussi un cadre d’appréciation du niveau d’exécution des activités programmées en 2017, selon lui. Il a poursuivi que c’est une occasion pour les acteurs d’examiner le niveau de mise en œuvre des recommandations de la revue annuelle 2016. Cela permettra aussi d’amender l’étude diagnostique de la politique du secteur de planification qui devait être disponible d’ici fin septembre, a-t-il ajouté. Ainsi, il a fait savoir que le Plan national de développement économique et social (PNDES) impose une mise en cohérence des interventions des différents départements ministériels dans un même secteur de planification pour le développement du pays. C’est pourquoi, pour le ministre, la finalisation et l’adoption des différents instruments de pilotage vont permettre au secteur de contribuer plus efficacement à la mise en œuvre de ce plan. Qu’à cela ne tienne, il a reconnu que le bilan à mi-parcours du CSD n’est pas satisfaisant au regard des difficultés qui ont émaillé le secteur, relatives à la mise à disposition tardive des différents budgets. « Je nourris l’espoir qu’au sortir de cette session, nous partions tous convaincus de l’importance et du rôle que notre secteur doit jouer dans la mise en œuvre du PNDES », a-t-il souhaité.

Mariam CONGO (Stagiaire)