Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratiques    Le Burkina Faso    Publicité
aOuaga.com NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article
Politique

Burkina : 34 ans après, « les idéaux défendus par Thomas Sankara restent intacts
Publié le samedi 5 aout 2017  |  Jeune Afrique
Un
© AFP par PASCAL GEORGE
Un fichier image pris le 7 Février , 1986 montre le capitaine Thomas Sankara , président du Burkina Faso , de donner une conférence de presse à Paris




Le Burkina commémore ce vendredi 4 août le 34e anniversaire de la Révolution d'août 1983, portée par le capitaine Thomas Sankara. Alors que le Comité international du mémorial Thomas Sankara (CIM-TS) met les bouchées doubles pour mettre sur pied un coûteux projet de mémorial , JA interroge l'héritage légué par le Père de la Révolution burkinabè.

Thomas Sankara continue de fasciner la jeunesse africaine, près de 30 ans après son assassinat, le 15 octobre 1987. Arrivé au pouvoir le 4 août 1983, le jeune capitaine révolutionnaire aura marqué son époque. Entre ses discours poignants à la tribune des Nations Unies et de l’Organisation de l’unité africaine − l’actuelle Union Africaine −, et ses prises de position en faveur des peuples opprimés tels que les Noirs sud africains, le leader burkinabè était sur tous les fronts. Mais, trente ans après sa mort brutale, que reste-t-il aujourd’hui de son combat ?
« Les plus jeunes s’identifient à Sankara »

« Au-delà des acquis économiques et sociaux, j’en retiens qu’elle a formaté un homme nouveau. La Révolution a transformé les mentalités comme Sankara lui-même le prônait par ces mots : Osons inventer l’avenir », commente le leader sankariste, Me Bénéwendé Stanislas Sankara. Il poursuit : « Les idéaux défendus par Sankara restent intacts. Je me rends compte que ceux qui disaient qu’il était en avance sur son temps ont aujourd’hui raison, car de nombreux Africains se réclament de l’homme. Si 34 ans après, les plus jeunes s’identifient à Sankara, c’est qu’il reste un homme politique contemporain ».
... suite de l'article sur Jeune Afrique

Commentaires