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Les quotidiens burkinabè intéressés par la situation politique et les mouvements d’humeur
Publié le jeudi 8 juin 2017  |  Agence de Presse Africaine
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© Autre presse par DR
Une vue des unes de journaux burkinabè en langues nationales




La presse burkinabè, paru ce jeudi, s’intéresse aux différents mouvements sociaux que connait le pays, sans oublier de commenter la situation politique nationale marquée par la sortie du Chef de file de l’opposition politique (CFOP), à propos du nouveau code électoral et de l’agression d’opposants.

Le journal Aujourd’hui au Faso publie une déclaration du service de communication du CFOP sous le titre : «Projet de loi portant code électoral : Une provocation selon le CFOP».

Le document est le compte-rendu d’une réunion du cadre de concertation du Chef de file de l’opposition politique, présidée par Zéphirin Diabré.

L’écrit souligne que la rencontre, tenue mardi dernier, avait à son ordre du jour, les points tels que «projet de loi portant code électoral» et «menaces contre la sécurité des opposants».

Le même compte-rendu est publié par Le Quotidien sous ce titre : «Le CFOP à propos de la situation nationale: l’opposition politique dénonce des attaques d’homme cagoulés visant les domiciles d’opposants».

A ce sujet, Le Pays affiche en première page : «Menaces sur la sécurité des opposants : l’opposition interpelle le gouvernement».

Le même confrère évoque la grève annoncée des comités CGT-B (Confédération générale du travail du Burkina, Ndlr), renseignant que «le mot d’ordre (de grève) est suspendu».

Evoquant cette actualité, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, titre simplement: «Péage: Grève suspendue».

Les journaux ont également abordé les mouvements d’humeur dans les ministères.

Ainsi, Aujourd’hui au Faso, sous le titre, «le département de la culture (est) gagné par la fièvre», informe que les agents du ministère de la Culture, des Arts et du Tourisme sont en grève de 72 heures, du mercredi 7 au vendredi 9 juin 2017 et ce, sur toute l’étendue du territoire.

«Les grévistes réclament la satisfaction de leur plate-forme revendicative qui, selon eux, sont du ressort du Premier ministre», relate le journal.

Parlant de ce mouvement, L’Observateur Paalga, mentionne en sa manchette: «Revendications sociales : Les agents de la Culture entrent en scène».

Foi du journal, le mot d’ordre lancé par le Syndicat national des travailleurs de la Culture et du Tourisme (SYNATRACT) a été respecté dans la capitale Ouagadougou, le premier jour.

Le Pays, de son côté, rapporte qu’à propos des grèves répétées au Burkina Faso, «l’association TOUBA (Tous unis pour un Burkina apaisé, Ndlr) souhaite que soit privilégié le dialogue».

Quant au quotidien national Sidwaya, il mentionne, en guise de titre: «Situation nationale: L’association TOUBA prône l’apaisement du climat social».


ALK/cat/APA
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