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Ministère de l’Agriculture et des Aménagements hydrauliques : Jacob Ouédraogo échange avec les syndicats
Publié le jeudi 23 fevrier 2017  |  Ministère
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© Ministère par D.R
Le ministre de l’Agriculture et des Aménagements Hydrauliques, Jacob Ouédraogo, entouré de ses proches collaborateurs a eu, le lundi 21 février 2017, des échanges directs avec les syndicats relevant de son département




Le ministre de l’Agriculture et des Aménagements Hydrauliques, Jacob Ouédraogo, entouré de ses proches collaborateurs a eu, le lundi 21 février 2017, des échanges directs avec les syndicats relevant de son département. Il s’agit du Syndicat national des travailleurs de l’agriculture (SYNATRAG) et du Syndicat national de l’agriculture (SYNAGRI).
Les échanges entre le ministre de l’Agriculture et des Aménagements Hydrauliques, Jacob Ouédraogo, et les responsables syndicaux, le lundi 21 février 2017, ont porté essentiellement sur l’apport des syndicats dans le fonctionnement du ministère, la valorisation du partenariat, la mise en place d’un cadre de concertation et le projet d’arrêté du conseil de discipline. Emmanuel Siambo, secrétaire général du Syndicat national des travailleurs de l’agriculture (SYNATRAG), a rappelé les conditions de création et d’existence de sa structure. Créé en 1991, le SYNATRAG a toujours été à l’avant-garde de la lutte syndicale pour l’amélioration des conditions de travail des agents de l’agriculture, a rappelé M. Siambo.
Le Syndicat national de l’agriculture (SYNAGRI), représenté par son secrétaire général, Jérémie Clément Konditamdé, a fait savoir que le SYNAGRI a été créé dans les années 1974. Tout comme le SYNATRAG, le SYNAGRI dit œuvrer pour de meilleures conditions de travail de ses militants.
Pour le ministre Jacob Ouédraogo, il faut toujours faire prévaloir le dialogue avec les partenaires sociaux dans l’optique d’améliorer les conditions de vie des travailleurs. Le ministre Jacob Ouédraogo a demandé aux syndicats de son département d’occuper leurs places dans les instances administratives : commission d’affectation, conseil de discipline et cadre de concertation.
Les deux syndicats ont, à leur tour, proposé la mise en place d’un comité bipartite de suivi de la mise en œuvre des points de leurs plates-formes revendicatives. Une idée partagée par Jacob Ouédraogo et ses collaborateurs présents à la séance d’échanges.
En outre, le processus électoral entamé à l’Union nationale de producteurs de coton du Burkina (UNPC-B) a fait l’objet de discussions. Si les syndicats déplorent les taux de prise en charge octroyée à leurs militants impliqués dans le processus, Jacob Ouédraogo voit dans ses modestes rétributions la part de sacrifice patriotique de son personnel dans l’élan de secours engagé en faveur d’un secteur hautement stratégique de l’économie nationale. Qu’à cela ne tienne, le ministre Ouédraogo a consenti, dans la mesure du possible, une hausse des prises en charge des acteurs du processus électoral. Et Dieu voulant, le samedi 4 mars prochain, il se rendra à Bobo-Dioulasso pour installer les membres élus du Comité de gestion de l’UNPC-B.
Au regard des explications fournies par le ministre Jacob Ouédraogo, le SYNATRAG a regretté sa lettre ouverte, devenue sans objet, mais déjà envoyée aux médias pour, dit-il, dénoncer une situation qui n’en est plus une.

DCPM/MAAH
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