Trait de plume : "L’éducation d’un peuple se juge d’après son maintien dans la rue".

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Publié le lundi 19 septembre 2016 | Sidwaya

"L’éducation d’un peuple se juge d’après son maintien dans la rue. Où tu verras la grossièreté dans la rue, tu es sûr de trouver la grossièreté dans les maisons” (Edmonde de Amicès : Grands cœurs)
Ca n’a l’air de rien, mais, à d’éventuelles olympiades de la violence verbale, des grossièretés, injures, trivialités, insanitiés, il est un pays aux mille sites aurifères qui pourrait compétir pour les médailles !
Les grandes métropoles du pays semblent insensibles aux appelations scandaleuses inspirées de l’anatomie de la mère : "Taximan, je vais au marché de b…b… logo ! (voir dioula ou bambara phones!) venant froidement de la bouche d’une fille d’Eve, voici de quoi nous…nouer l’aiguillette ! Le Faso n’oublie pas les TPR de Ouahigouya et l’outrage au magistrat et à toute l’assistance hilare ! Ainsi va ce monde et c’est dans l’air du temps : "Honorable président ! vous n’avez rien d’honorable ! ” (Afrique du Sud). Aux Etats-Unis, on a traité le candidat républicain de …stupide et de malade mental ! Fichtre ! On ne s’embarasse plus de langue de bois et de circonlocutions sans effet escompté. !

Mounir