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© Autre presse par DR
Le général de brigade, Pingrenoma Zagré |
Cinquante-un sous-officiers d’active dont 49 de l’armée burkinabè et deux de la Côte d’Ivoire ont reçu mardi leurs galons de sergent à l’Ecole nationale des sous-officiers d’active (ENSOA) à Ouagadougou, en présence du chef d’Etat-major générale des armées Pingrenoma Zagré, marquant ainsi la fin de deux ans de formation au métier d’arme.
Durant ces deux ans (de 2014 à 2016), "46 garçons et cinq filles" ont bénéficié "d’un programme de formation multidisciplinaire intégrant une gamme complète de savoirs, de savoir-faire et de savoir-être qui les rendent ainsi aptes à remplir avec compétence, rigueur et professionnalisme, les fonctions dévolues aux sous-officiers des forces armées nationales", selon le chef d’état-major de l’armée de terre Raboyinga Kaboré.
Ces désormais sergents de l’armée ont reçu, entre autres, une formation à la mission opérationnelle, administrative et technique en culture général et ont effectué des stages d’instruction sur le tir au combat, de secourisme et d’immersion en corps de troupe, notamment.
Le chef d’état-major de l’armée de terre a invité les élèves sortant à se "aux valeurs cardinales (qui sont) "la compétence, la responsabilité, le service désintéressé, le dévouement et l’intégrité" et à "refuser toujours la médiocrité", une fois sur le terrain.
Quant au chef d’état-major général des armées, le général Zagré, il les a exhorté à "mettre en œuvre tout ce qu’ils ont appris avec beaucoup d’engagement, détermination et d’énergie sur le terrain pour que les résultats attendus d’eux soient atteint afin de permettre aux forces armées nationales remplir avec satisfaction leurs missions".
Entrés à l’école en août 2014, ces élèves constituent la septième promotion qu’a formée cette école de sous-officiers d’active créée en avril 2005. Cette promotion porte désormais le nom "Honneur", ce que chaque élève sortant devrait incarner tout au long de sa carrière militaire.
En 2014, 45 sous-officiers dont cinq filles ont effectué leur sortie de l’Ecole nationale de sous-officiers d’active, après deux ans de formation au métier militaire, pour renforcer les ressources humaines des forces armées nationales.
DZO
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